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Le Journal pour le Fort de Couteaux Jaunes |
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Jean Steinbruck, un commerçant de fourrures allemand, était rattaché à la région du Grand lac des Esclaves par son employeur, la Compagnie du Nord-Ouest, au début des années 1800. Au cours du rude hiver 1802, il démontra l'un des usages les plus inusités de l'écorce de bouleau. Steinbruck commença à écrire son journal sur de petites feuilles de bouleau. La Compagnie voulait qu'il fasse un compte rendu de ses contacts avec les Autochtones autour du poste; comme il manquait de papier, il se résolut à écrire sur de l'écorce.
On croit que les canots en route pour le poste ont été pris dans les glaces et n'ont pas pu livrer les marchandises. Jean Steinbruck est mort alors qu'il était toujours au service de la Compagnie du Nord-Ouest, deux ans après avoir écrit ce qui s'appelle maintenant le Journal pour le Fort de Couteaux Jaunes.
Le Journal pour le Fort de Couteaux Jaunes a été acquis auprès d'un collectionneur privé par le Centre du patrimoine septentrional Prince-de-Galles, en 2000. Il fait maintenant partie de la collection permanente du Musée.
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